Basiliscus basiliscus barbouri
Une espèce de Basiliscus Nom scientifique : Basiliscus basiliscus barbouri Genre : Basiliscus
Basiliscus basiliscus barbouri, Une espèce de Basiliscus
Nom scientifique: Basiliscus basiliscus barbouri
Genre: Basiliscus
La description
Basiliscus basiliscus barbouri est un grimpeur très habile, qui utilise les denses canopées des forêts tropicales d'Amérique centrale pour se déplacer efficacement et éviter les prédateurs. Spécialisé dans l'insectivorie, il joue un rôle essentiel dans l'équilibre écologique en gérant les populations d'insectes. Ses plumes fines et frangées sur les orteils lui permettent de courir momentanément sur l'eau, ce qui constitue une adaptation locomotrice inhabituelle.
Informations générales
Durée de vie
7-8 years
Régime
Basiliscus basiliscus barbouri se nourrit principalement d'un large éventail d'arthropodes, d'insectes et de petits invertébrés. Les araignées, les coléoptères et les sauterelles, qu'il chasse généralement dans les arbres et les buissons, constituent sa nourriture préférée.
Apparence
Basiliscus basiliscus barbouri est un reptile de taille moyenne au corps robuste et aux membres bien dessinés, recouvert d'une peau rugueuse et écailleuse. Il possède une crête proéminente le long de son dos et de sa queue, en forme de série de pointes triangulaires. Sa peau est un mélange de verts et de jaunes éclatants, avec des bandes noires audacieuses qui ornent son corps et sa queue. Les mâles se distinguent par une crête plus haute et des teintes plus vives, tandis que les femelles sont généralement plus petites et moins éclatantes.
Comportement
Basiliscus basiliscus barbouri affiche une nature semi-aquatique proéminente, avec des comportements spécialisés pour son habitat aquatique. Connus pour leur agilité de "marcheurs d'eau", les adultes cherchent leur nourriture à la fois sur terre et dans l'eau, utilisant leurs pattes arrière pour sprinter sur les surfaces d'eau. Ils sont en grande partie solitaires et marquent leur territoire à l'aide de pistes olfactives. Parmi les adaptations nécessaires à leur survie, on peut citer les doigts frangés qui leur permettent de flotter et le fouettement de la queue qui les dissuade de se faire prendre au piège.