Aspidoscelis marmorata marmorata
Une espèce de Aspidoscelis Nom scientifique : Aspidoscelis marmorata marmorata Genre : Aspidoscelis
Aspidoscelis marmorata marmorata, Une espèce de Aspidoscelis
Nom scientifique: Aspidoscelis marmorata marmorata
Genre: Aspidoscelis
La description
Aspidoscelis marmorata marmorata présente un comportement diurne remarquable, étant le plus actif pendant les heures de clarté. Sa principale source de nourriture est constituée de matières végétales et d'insectes, son régime étant essentiellement herbivore et parfois opportuniste. Aspidoscelis marmorata marmorata prospère dans les environnements arides et désertiques et présente des adaptations extraordinaires en matière de résistance à la chaleur.
Informations générales
Durée de vie
10-15 years
Régime
Aspidoscelis marmorata marmorata possède un régime alimentaire omnivore largement dominé par les arthropodes, bien qu'il consomme occasionnellement du matériel végétal, comme des graines et des feuilles. Cette espèce a une prédilection pour les fourmis, les termites, les coléoptères et les araignées.
Apparence
Aspidoscelis marmorata marmorata est un petit lézard élancé à la peau écailleuse. Cette sous-espèce présente un motif tacheté frappant de taches sombres et claires, principalement dans les tons bruns. Le dessous est généralement plus pâle, souvent blanc ou crème. Elle se distingue par une longue queue effilée et des paupières fonctionnelles, une caractéristique inhabituelle chez les lézards. Il n'y a pas de différences significatives d'apparence en fonction de l'âge, du sexe ou au sein de la sous-espèce.
Comportement
Aspidoscelis marmorata marmorata habite principalement les plaines arides et se distingue par sa vitesse fulgurante, qu'il utilise souvent pour échapper à ses prédateurs. Cet animal diurne se nourrit principalement d'insectes et de petits invertébrés. Remarquablement solitaire, aspidoscelis marmorata marmorata adopte une posture défensive lorsqu'il est menacé, en soulevant son corps du sol et en ouvrant grand la bouche. Ces adaptations comportementales spécifiques à l'habitat contribuent grandement à leur survie dans les paysages désertiques.